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Saturday, July 21, 2012

Nous sommes accrocs à Internet… même pendant nos vacances

Nous sommes accrocs à Internet… même pendant nos vacancesIl y a 25 ans, une étude avait été réalisée par un hebdomadaire français sur l’addiction à la petite lucarne : Une famille s’était portée volontaire pour « survivre un mois sans la télévision, pendant les vacances » : C’était dur, mais elle y était arrivée. Une génération plus tard, il semble bien qu’une drogue en a remplacé une autre : Internet. Et le produit se montre tout aussi coriace. Nous sommes devenus des connected people et la plupart d’entre nous sommes incapables de faire l’impasse sur Internet une fois le temps des congés venus. Brocade, une société américaine leader dans les solutions de réseaux de communication, a réalisé une étude sur 500 vacanciers européens afin de mesurer de mesurer l’impact du Web sur le vieux continent tout au long de l’année.Résultat : 86% des sondés tiennent à l’accès gratuit au WiFi dans un hôtel, et 37% d’entre eux reconnaissent que la connexion internet est un élément important pour le choix de leur destination. Pourquoi ne déconnectons nous pas pendant nos congés ? Les réponses des personnes s’étant prêtées à l’étude font état, surtout, d’une « volonté de garder le contact sur les réseaux sociaux avec son entourage » et -là ça devient assez étonnant- de « jouer en ligne pour tuer le temps ou de consulter ses mails professionnels ». Outre le fait de continuer à travailler, beaucoup d’entre nous souffrent donc d’ennui pendant les vacances, alors que les congés permettent justement de déconnecter (dans les autres sens du terme), de s’adonner à de nouvelles occupations, de se changer les idées et de prendre une bouffée d’air pur dans un nouvel environnement.

D'après l’étude, nous serions seulement 7% à faire ce véritable break en résistant à l’appel des écrans en gardant les câbles d’ordinateurs et de téléphones débranchés pendant les vacances. Philippe Tiennot, Manager pour la zone France chez Brocade en tire son enseignement : « Ces observations confirment que la révolution des smartphones/tablettes est en cours et que les problèmes de prise en charge des volumes de données mobiles vont continuer à peser sur les acteurs du marché des services de communication. Autrefois, nous partions davantage en vacances pour faire le vide. Aujourd’hui, nous ne nous déconnectons plus du travail, même lorsque nous sommes à la plage ».

La reproduction totale ou partielle de l'article est strictement interdite sans accord préalable de l'auteur


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Loire dépotoir

Tant de comportements malsains.

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Vidéo ici

Celui qui aime le fleuve déplore de le voir ainsi souillé et malmené par des comportements qui ne cessent de m'indigner. Plus le Fleuve revient au premier plan, plus il est mis en avant par les villes et les collectivités, plus se pressent sur ses berges quelques personnes qui ne savent pas se tenir, ni contenir leurs déjections.

Nous voyons sur le cours de son onde, aller à la dérive, une armée de bouteilles plastiques qui conduisent à la mer l'insondable mépris d'une société mercantile. Et encore nous ne voyons là que la face visible de ces bouteilles de soda. Ceux qui ont jeté celles-ci ont fait l'effort de remettre le bouchon, d'autres jonchent pour l'éternité les fonds invisibles.

Pire encore, il y a désormais la foule immense et malfaisante des buveurs de bière. Il doit y avoir dans cette consommation particulière l'obligation de jeter à l'eau la canette vide. Mais cela doit se faire avec éclats, il faut disperser la marque du forfait, fracasser le contenant sur quelques quais ou bien de gros cailloux sur la rive. Que c'est beau ces petits fragments qui brillent au soleil et entaillent à plaisir le pied de celui qui voudrait patauger !

Ils n'ont rien à envier aux nouveaux orduriers. Ceux-là aiment à passer la nuit. Ils boivent des boissons sur-vitaminés dans des contenants métallisés. C'est à peine compressé que l'objet du délire ailé finit son parcours au fil de l'eau ou le plus souvent sur les herbes des rives. Expression même de la modernité, ces boissons infectes jonchent nos rivières et nos bords de route sans que jamais leurs immondes fabricants ne soient taxés au nom d'une responsabilité objective.

Puis il faut laisser un peu de place pour le plat principal. La restauration rapide n'aime pas la nature, ses emballages imputrescibles l'attestent mieux qu'un long discours. Les mangeurs à la va vite, font preuve, comment les en blâmer, de mauvais goût en laissant là ces objets cubiques, des pailles rouges et blanches et des gobelets contenant un poisson officiel. Maintenant la Loire, elle aussi hérite des déchets de notre indigeste société de consommation.

Il reste encore le tout venant du mépris. Le vélo qu'on a volé et qui finit à l'eau. Il rejoint les gros encombrants qui aiment décorer les levées et les digues. Même si la chose se fait plus rare, elle demeure encore, car il ne faut pas rompre trop brutalement avec les mauvaises habitudes. Par contre, il y a un geste anodin qui n'a aucune chance de s'interrompre, c'est le jet de ce mégot abominable qui finit dans la Loire. Vous savez désormais que ce geste que vous pensiez insipide, pollue 600 mètres cube d'eau, un argument qui vous laissera de marbre à n'en point douter !

Voilà tout ce que nous voyons de nos bateaux de bois qui ne sont nullement épargnés par vos gestes orduriers. S'ils sont à quai, ils seront alors un réceptacle ludique pour jeter tout ce qui vous passe par la main. S'ils sont à portée de visite, vous ne pourrez résister à un petit arrêt, pour un pique-nique, une soirée desquels vous partirez sans rien nettoyer. Non seulement, ces embarcations sont fragiles, elles sont également propriété privée ce qui ne semble nullement vous déranger.

Hélas tout ceci n'est rien par rapport aux poids lourds des coups tordus pour le fleuve. Centrales nucléaires, usines de traitements des eaux, industries polluantes, agriculteurs traiteurs, pyralène et pire que tout, l'homme en majesté qui ne cesse de souiller tout ce qui l'entoure. La Loire est le terrain préféré de tous ces joyeux gougnafiers sans respect ni conscience.

Quand cesserons-nous de nous conduire ainsi ? Faut-il que notre espèce disparaisse enfin pour que toutes les autres cessent de subir ses attaques putrides, ses petits gestes anodins qui font tant de dégâts, de comportements égoïstes et stupides en malversations organisées et programmées ?

Laissez la Loire et tous les autres fleuves et rivières. Contentez-vous de les regarder sans jamais rien y jeter. Ce sera un premier pas, nous nous en prendrons ensuite aux brigands patentés, pollueurs officiels et industriels merdeux !

Colériquement vôtre.

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La très honnête famille Peugeot se défrise sous les critiques

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La Syrie en guerre

Pour r?pondre ? ANTY et ? quelques autres,voici un article qui fut publi? ? l’?poque de la guerre contre la LIBYE ,il me semble toujours d’actualit?

Certains m?dias pr?sentent l’invasion de l’OTAN et des Etats-Unis contre la Libye comme un mouvement social. Pour ceux qui ne savent pas faire la part des choses, sugg?rons quelques pistes :

Un mouvement social majoritaire triomphe seul et n’a pas besoin de l’invasion d’une coalition imp?rialiste de 42 pays pilleurs pendant plus de six mois pour s’imposer.

Un mouvement social est compos? de gens faits de chair et de sang, et non de victimes imaginaires de soi-disant bombardements non confirm?s par les journalistes de Telesur, ni par les satellites Russes ni par ceux du Pentagone.

Un mouvement social surgit spontan?ment du peuple et non des plans du Pentagone pour envahir la Libye d?nonc?s depuis 2001 par le g?n?ral Wesley Clark.

Un mouvement social n’obtient pas la protection de cette mafia de puissances h?g?moniques appel?e l’ONU.

Un mouvement social n’est pas dirig? par des monarques, des terroristes int?gristes, des mercenaires ?trangers ni d’ex-ministres du gouvernement auquel il s’appose.

Un mouvement social n’est pas pr?sent? par Barack Obama comme ? un mod?le pour les relations internationales ? et ne re?oit pas l’appui de l’arm?e d’occupation europ?enne appel?e l’OTAN.

Un mouvement social ne commence pas par assassiner son propre chef, comme l’a fait le CNT avec son premier pr?sident, Abdel Younis.

Un mouvement social ne dispose pas de porte-avions, de navires de guerre, de bombardiers, de missiles t?l?guid?s, d’h?licopt?res de combat et d’avions sans pilotes.

Un mouvement social n’applique pas ? se compatriotes la strat?gie de bombardements terroristes de la population civile inaugur?e par la Luftwaffe nazi contre la ville de Guernica.

Un mouvement social ne r?p?te pas ce massacre ? 20.000 reprises lors de missions a?riennes contre son propre pays.

Un mouvement social ne bombarde pas syst?matiquement les h?pitaux, les aqueducs, les ?coles, les quartiers r?sidentiels et les moyens de communication.

Un mouvement social ne s?questre pas des journalistes ind?pendants ni ne les expulse pour les emp?cher de t?moigner sur ce qui se passe.

Un mouvement social ne se livre pas ? l’assassinat cibl? des dirigeants de son pays et n’offre pas une r?compense d’un million et demi d’euros pour leurs t?tes.

Un mouvement social ne d?ploie pas des avocats, des lobbys et des influences pour que la Cour P?nale Internationale ?mette des mandats d’arr?t contre ses adversaires.

Un mouvement social ne provoque pas le massacre de 60.000 personnes parmi son propre peuple.

Un mouvement social n’a pas de complices financiers internationaux capables de confisquer 270 milliards de dollars de r?serves de son propre pays.

Un mouvement social n’offre pas les ressources de son pays ? une nu?e de soci?t?s multinationales.

Un mouvement social n’est jamais appuy? inconditionnellement par les monopoles et multinationales de l’information.

Un mouvement social ne dispose pas de cameramen, de sc?naristes, de maquilleurs, d’acteurs, de costumiers et de metteurs en sc?ne pour filmer au Qatar de fausses sc?nes de victoire.

Un mouvement social ne d?truit pas et ne saccage pas les si?ges diplomatiques des pays amis.

Un mouvement social ne tue pas syst?matiquement des compatriotes parce qu’ils ont le peau noire, comme le font les forces du CNT

Un mouvement social n’est pas dirig? par Berlusconi, Sarkozy, Cameron, Merkel et Rassmussen.

Un mouvement social n’est pas reconnu pr?matur?ment comme gouvernement par les puissances imp?rialistes avant m?me d’avoir obtenu le contr?le de tout le territoire.

S’il est facile de distinguer une invasion de l’OTAN d’un mouvement social, il est encore plus facile de distinguer un imb?cile d’une canaille. L’imb?cile ignore les faits ?num?r?s plus haut. La canaille les conna?t mais persiste ? dire que l’invasion de la Libye est un mouvement social.

Luis Britto Garcia

http://luisbrittogarcia.blogspot.co....

Traduction "ca m’?tonnerait que ?a traverse le blindage cr?nien de nos intellectualo?des occidentaux" par VD pour le Grand Soir avec probablement un peu plus de fautes et de coquilles que d’habitude.

http://www.legrandsoir.info/comment...


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Peugeot : le retour du Roi Lion

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Robert Gibbons, docteur ès manipulation scientifique

Dans un post récent sur le blog Mad in America, le journaliste d’investigation Bob Whitaker dénonce les tentatives de manipulation du chercheur Robert Gibbons, qui n’hésite pas à nous faire prendre les vessies pour des lanternes afin de faire la promotion des produits vendus par les laboratoires qui le financent. Quoique le sujet n’a pas un grand intérêt en France, il illustre les méthodes lamentables des sbires de l’industrie pharmaceutique.

Qui est Bob Gibbons ?

Selon son CV, Robert Gibbons dirige le centre pour les statistiques scientifiques de l’université de Chicago. En recherche pharmaceutique, les statistiques scientifiques servent à éliminer l’anecdotique pour déterminer l’effet global et général du médicament. Par exemple, si on commence à prendre un traitement qui provoque comme effet secondaire de voir des wookies au réveil, mais qu’on est la seule patiente sur 100000 à confondre son mari avec une grosse bête poilue (encore que…) cela ne sera pas considéré comme un effet secondaire propre au médicament, mais un phénomène rare résultant d’une interaction entre le médicament et le patient.

 Revenons à notre gibbon. Il a d’abord travaillé à l’université de l’Illinois (basée à Chicago), avant de venir à l’université de Chicago (c’est un peu comme en France, avec les diverses universités parisienne) où son travail a été récompensé de divers prix. Ses recherches ont été régulièrement financées par le NIH, qui n’a pas vocation à enrichir les escrocs, même s’il en est souvent victime.

 En somme, quelqu’un de neutre et très compétent. A moins que…

Des conflits d’intérêts qui surgissent

 En 2004, la Food and Drug Administration (FDA) établit que les antidépresseurs appelés inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine (ou ISRS, tels que Paxil, Seroplex, Prozac…), provoquent des envies de suicide chez les enfants, les adolescents et les jeunes adultes (le patient a 2 fois plus envie de se suicider). L’agence oblige alors les fabricants à écrire dans un encadré noir (Black Box warning, indiquant une dangerosité maximale) sur l’étiquette et la boîte un avertissement du type « attention, ne pas prescrire à un enfant, même suicidaire, ça pourrait lui donner (encore plus) envie de se suicider ». Gibbons fait alors partie du panel d’experts de la FDA chargé de prendre cette décision… et s’y oppose. En vain, puisque l’avertissement est adopté par 15 voix contre 8.

 Depuis, il ne cesse de publier des articles dans la presse scientifique pour dire qu’il n’y a pas de lien entre ces médicaments et le risque de suicide. Dans les plus récents, il reconnait qu’il sert d’expert à Pfizer (fabricant du Zoloft) et Wyeth (fabricant de l’Effexor, un cousin des ISRS) dans le cadre de procès intentés par des victimes des effets suicidogènes de ces médicaments.

Manipuler les données

 Dans l’un des premiers articles en question, Early Evidence on the Effects of Regulators’ Suicidality Warnings on SSRI Prescriptions and Suicide in Children and Adolescents, paru dans The American Journal of Psychiatry en 2007, Gibbons et ses collègues prétendent que l’avertissement sur les risques de suicide a fait diminuer les prescriptions de ces produits, alors que les taux de suicide chez les jeunes augmentaient dans le même temps. Sa conclusion : en incitant les médecins à prescrire d’autres produits (concurrents), l’avertissement provoque indirectement plus de suicides (puisque ces produits sont moins bons).

 Or, les critiques dénoncent que Gibbons a comparé ce qui n’était pas comparable : il dit que les prescriptions d’ISRS ont diminué de 22% entre 2003 et 2005, tandis que les cas de suicide ont augmenté de 14% de 2003 à 2004. On constate tous le biais : le chercheur aurait dû prendre dans les deux cas la même période. Mais il ne l’a pas fait. Et pour cause : c’est sur la période 2004-2005 que les prescriptions ont diminué, période pour laquelle Gibbons n’avait pas les chiffres de suicide. Et lorsque ceux-ci ont été connus, on a découvert qu’ils avaient baissé en même temps que les prescriptions d’ISRS. Gibbons a donc manipulé les données pour présenter un résultat CONTRAIRE à la réalité. Comme le dit Whitaker, ce n’est pas le genre de gaffe qu’on commet accidentellement, mais une pure manipulation.

 Au Pays-Bas (l’étude portait sur les statistiques néerlandaises d’une part, américaines d’autre part), la communauté scientifique critique de même vertement Gibbons, dénonçant des conclusions fausses et trompeuses, et son inconséquence. Même l’un des chercheurs qui avait écrit l’article avec Gibbons, Ron Herings, reconnait l’erreur et charge son collègue. En revanche, les médias américains prennent les conclusions pour argent comptant. Interrogé par le Chicago Tribune, Gibbons appelle à retirer l’avertissement « Black Box ».

Derniers articles

 Les deux articles les plus réents ont été publiés en début d’année dans Archives of General Psychiatry. Gibbons y reprend les anciennes études portant sur le Prozac et l’Effexor, et passe les chiffres à la moulinette des outils statistiques qu’il a mis au point. Dans le premier, intitulé Suicidal Thoughts and Behavior With Antidepressant Treatment, il conclue qu’il n’y a pas de hausse du risque de suicide. Dans le second, il réaffirme que les deux produits sont efficaces pour traiter la dépression chez les jeunes patients. De nouveau, il éveille l’attention des media américains (là et là) qui lui accordent une tribune pour déclarer que l’avertissement été abusif.

 Le docteur David Healy, l’un des principaux lanceurs d’alertes sur les ISRS, qui avait notamment dénoncé le manque d’efficacité de ces produits dans une étude retentissante, critique sur son blog les biais et incohérence des nouveaux articles de Gibbons :

· La population sélectionnée pour les études ne se limitait pas aux seuls jeunes patients (pourtant ceux concernés par l’avertissement).

· Il prétend que la seule baisse du score de l’élément 3 (pensées suicidaires) sur l’échelle de dépression de Hamilton (baisse donc uniquement observée sur une population globale) justifie qu’on néglige tout autre effet, aussi fatal puisse-t’il être, sans en nommer aucun (alors qu’on pourrai citer les risques cardiaques par exemple).

· Il utilise un langage qui est très éloigné de celui des statisticiens.

· L’étude d’origine sur le Prozac avait déjà été lourdement critiquée pour l’utilisation de modèles statistiques inadéquats et faussés.

· Après une première période de traitement, les individus répondant au placébo ou développant des effets secondaires au traitement ont été écartés des statistiques, précédé qui permet de faire ressortir une plus grande efficacité tout en masquant la dangerosité.

De même, le bloggeur Mickey Nardo, ancien psychanalyste qui tire régulièrement à boulets rouges sur Gibbons, dénonce que celui-ci a sélectionné certaines études et délaissé d’autres, qu’il a commis de lourdes erreurs de calcul, qu’il use d’une méthodologie opaque, qu’il présente des résultats de façon partiale, trompeuse et biaisée.

 Enfin, Matthew Miller de l’école de santé publique de Harvard, a tenté de reproduire les résultats revendiqués par Gibbons, et arrive à la conclusion inverse, qui justifie le maintien de l’avertissement sur les risques de suicide.

 Toutes ces critiques ont été envoyées à Archives of General Psychiatry qui les a simplement publiés dans son courrier des lecteurs. En conséquence, lorsqu’un médecin fera une recherche bibliographique sur les ISRS et le risque de suicide, il trouvera les études bidons de Gibbons, mais rien sur les critiques qui ont été émises à leur sujet.

Conclusions

 Voila donc des années que le comportement ouvertement manipulateur de Gibbons est dénoncé par ses pairs. Pourtant, rien ne change.

 Gibbons a le soutien de la presse généraliste, qui ne comprend de toute façon rien aux sciences médicale, mathématique ou statistique, et se pique de temps en temps de sauter sur un sujet racoleur, en l’occurrence critiquer la FDA.

 Il a également le soutien passif d’une certaine presse scientifique, qui lui est acquise, et qui préfère étouffer les critiques d’une manière assez habile pour qu’elle ne semble pas les censurer, les publiant là où personne ne les lira.

 La manipulation scientifique et les ISRS ont de beaux jours devant eux.

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